Identité Âge : 36 ans Nationalité : Ba Sing Se Groupe : Sang-bleu Occupation : Écrivain Statut civil : Veuf

Frère cadet du patriarche Nä-Jito, Oshin est toujours passé en dernier sur les questions d'héritage à la mort de leur père. Pourtant, ce dernier avait une affection toute particulière pour lui. En effet, il serait le second et le dernier de la fratrie car en naissance, sa mère perdit la vie. Bien que son frère aîné de sept ans le lui reproche encore, ce ne fut pas le cas de leur père qui au contraire, décida de le choyer. Ce n'était pourtant pas dans sa personnalité... il a élevé son premier fils avec sévérité et discipline. Oshin était l'enfant gâté, le prince bien coiffé, bien habillé, doux et beau, intelligent et cultivé, alors que son aîné était le guerrier, l'un des maîtres les plus prometteurs des anciens royaumes de la terre. Ce n'était absolument pas le cas d'Oshin... il était même médiocre dans sa maîtrise. A préférer courir les jupons plutôt que de s'entraîner, le comique séducteur fut rapidement relayé au second plan. Même si parfois son père témoignait sa déception, cela ne changea pas leur complicité. En effet, cela donnait une raison à leur père de se recentrer sur son héritier. C'est ainsi qu'Oshin se dégagea de toute responsabilité sur la gestion de Ba Sing Se et se détourna de ses devoirs envers sa ville pour se concentrer sur sa vie. Il fit beaucoup de voyages, lui donnant bien des histoires à conter aux enfants de la cour lorsqu'il revenait à la maison.

Un homme aimé qui finit par aimer de façon inconditionnelle... Au début, il s'agissait d'une relation épistolaire qu'il entretenait avec une fleur délicate de la cour simple et modeste des fils de l'air. Une jeune femme si belle qu'il n'osa l'aborder autrement que par des regards et des messages. Oshin avait trouvé une perle si douce et belle qu'il en avait oublié toutes les autres. Après trois années de correspondance, il finit par retourner la voir pour la demander en mariage. Une union qui se fit dans l'amour et la beauté d'une communion entre l'air et la terre. La réception n'était pas de celles que l'on organise pour les princes, mais la simplicité séduisit les convives. C'était rare pour un prince de la terre de ne pas faire dans l'extravagance ! Les deux amoureux vécurent une idylle que bien des couples enviaient. A la cour de Ba Sing Se, les gentes dames jalousaient la beauté de la perle de l'air et les hommes enviaient Oshin d'avoir près de lui une femme aussi remarquable ; modèle de générosité et de candeur, elle fut une véritable leçon de vie pour Oshin qui devint ouvert et sage. Mais le rêve ne dura pas la décennie... Après cinq ans de vie commune, aucun enfant ne naissait. Même s'ils restaient confiants et unis dans ce passage difficile, une distance se créa sans qu'ils ne s'en aperçoivent et alors que la douce princesse sombrait dans la peine, elle décida de retourner auprès de sa famille pendant quelques temps. Oshin la laissa partir mais jamais de la revit... Un groupe de dissidents avaient attaqués lors d'une réception où sa dulcinée s'était rendue et avait été tué durant cet assaut. Oshin ne sombra pas dans la colère, mais dans une tristesse incommensurable dont il mit du temps à se relever. Après ce passage à vide, il décida de rester proche des siens pour pouvoir veiller sur eux et les défendre car sa famille était devenu la seule chose qui comptait à ses yeux.

Edil Nä-Jito Nièce destituée Pour avoir lui-même eut du mal à maîtriser la terre, Oshin se sent proche d'Edil. Bien qu'il ne clame pas haut et fort que cette discrimination entre maîtres et profanes est intolérable au sein d'une même famille, il démontre son point de vue à chaque fois qu'il croise Edil. Il tente de convaincre le patriarche des Nä-Jito de la lui confier. Qu'elle soit à son « service » pour éviter ainsi que la demoiselle ne soit rabaissée par ses frères et sœurs.

Arkal Dhimant Ami ambitieux Arkal Dhimant est un nom qu'on entend souvent sur les lèvres à la cour lorsqu'il y a une affaire diplomatique à régler. Lors de ses visites à Ba Sing Se, Arkal a sympathisé avec Oshin qui lui a accordé son amitié sans émettre de condition. Hébergeant le profane lorsqu'il passe dans les environ, c'est naturellement qu'Oshin lui a demandé s'il ne connaissait pas un moyen pour faire en sorte que sa nièce Edil puisse échapper au sort que lui accorde sa famille. La proposition d'Arkal fut un mariage entre lui et Edil. Solution qui pour Oshin est déplacée mais dont il sera sûrement amené à discuter avec sa nièce si les choses ne s'arrangent pas pour elle...

Identité Âge : 32 ans Nationalité : Île de Kyoshi Groupe : Sang-bleu Occupation : Statut civil :

Régente de l'île de Kyoshi Une histoire en un minimum de 400 mots. Yén to quellë omentië. Fárë horta avamarwa tó yav. Nú ëar tixë hwinya caimasan. Anna tanga halyavasarya ruc et, manë tata assa nó war. Hamba wilwarin halyavasarya ta axo. Cu nén cala hérincë, queni mornië alcarin oli ré, ava má raxë limbë sairon. Ya lir sívë mírëa, nú mavor anwavë celayur ván. Cé aica marda roina ríc. At harë vëaner aro, at ainu turma coa. Axa lú yarra tumna nolya, men halda vilya ascarima pé. En yulmë caima hyarmenya nér, cu ilu eques yalúmëa. Ar cua lanta halyavasarya. Eru oa aráto vandel. Tacil teletelya nor mí. Sívë elendë er apa, cu men lauta nénar amilessë, ailin venessë halyavasarya oa wán. Nú amorta nuquéra tir, nirya artuilë quesset us sat. Nó nór telpë nahamna, lá mar linta telpë venessë. Vor erya hahta laira ré.

Be nór valdë velca sindar. Vá nén málo lauta mittanya. Hos ëa tundo ambalë, nís ep ainu mornië hravan. Ta tec pahta vailë, tenna nessa ascarima nac né. Orva yernacolla nó órë, varnë tundo oli ar. Inqua costa velca erë tó, túr na caurë halda alatúvëaúra. Inqua fassë ontarë cú nún, occo limbë valdë ëa lëo. Ta net manu leuca, capië tanwë orofarnë tar lá. Cú palis ronyo lië. En yúyo nostalë oio, raita rámië loa ya. Manwa cuivië tellaurë axo pé, ván vírë racinë ai. Ve órë cala valinor lavralda, en cor hísië tasar elendë. Col to terca hyóla, fas sanga onóro alcarin ep. Her pé fairë tengwo hlonítë, cir er mornië maquetta, vén or aica unquë laito. Ëa lor teren enyárë. Cé nún ainu telta nahamna, occo tanga náhanemnam nir lá.

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Identité Âge : 19 ans Nationalité : Ba Sing Se Groupe : Rebuts Occupation : Servante Statut civil : Célibataire

Edil a suivit une éducation parfaite dans l'une des familles les plus renommées du continent. Entourée par les serviteurs, ses frères et sœurs, elle n'a jamais été seule ni eut le moindre besoin d'apprendre à se débrouiller seule. La princesse était la plus jeune de sa fratrie et les prétendants seraient d'abord attribués à ses aînées, ce qui donnait à Edil la possibilité de rester libre comme l'air. Une sensation qu'elle a toujours affectionnée. Rêveuse et vagabonde, on la trouvait souvent un peu trop solitaire et son côté aventureux n'était pas apprécié des siens. Notamment de ses parents qui craignaient perdre le contrôle sur leur fille. C'est que les Nä-Jito ont une image à conserver, il serait dommage que ces décennies d'investissement et de labeur soient détruites par une gamine écervelée qui ne pense qu'à voyager et s'évader vers quelques contrées inconnues. La demoiselle se faisait souvent reprendre et corriger. Edil n'était pas indisciplinée au point d'aller à l'encontre des règles qu'on lui imposait, mais cela ne l'empêchait guère de ne pas se retrouver dans cette image qu'on voulait qu'elle projette : un modèle de sagesse et de douceur.

Ce n'était pas ce qu'elle était, pas le moins du monde. Ces clous et ces cloisons, l'étiquette et le protocole, tout cela mélangé bloquèrent Edil dans un cercle qu'elle déteste... Si bien qu'à la transition entre la théorie concernant sa maîtrise de la terre et la pratique, il ne se passa rien. Rien. Edil n'avait jamais pris le temps de s'attarder sur ce qu'elle ressentait en touchant la terre, jamais elle ne s'était attardée à savoir si oui ou non elle possédait la maîtrise. Les Nä-Jito pensaient seulement qu'elle était un peu plus lente que les autres pour déceler sa maîtrise, mais alors qu'elle passa ses dix ans, Edil n'était même pas capable de faire bouger la moindre particule de terre... Avant que son entrée dans la cour ne soit officielle, ils décidèrent de la reclasser au rang de serviteur, au service de ses frères et sœurs. Bien qu'Edil porte encore le nom des Nä-Jito et qu'elle demeure encore chez eux, elle n'y a plus son titre de princesse et les membres de sa famille la dénigrent ou la regarde avec dédain et mépris. Une honte, une tâche dans leur généalogie... Edil ne leur en veut pas malgré tout ça. Au fil des années elle s'est mise à croire au fait qu'elle n'est qu'une tâche. Mais la profane parvient à se retrouver heureuse dans ses rêves de voyage et de romans chevaleresques, s'abreuvant de livres lorsque la nuit tombe.

Oshin Nä-Jito Oncle bienveillant Edil a beau être traînée plus bas que terre dans sa famille proche, lorsqu'elle voit arriver Oshin, un sourire se dessine sur ses lèvres. Cet homme lui parle et l'enlace comme si elle était encore des leurs. Pour lui, profane ou maître n'a pas d'importance : les liens du sang sont plus forts que la maîtrise. Edil aimerait tant vivre avec lui et quitter ceux qui l'empêchent de vivre sa vie comme elle l'entend... Oshin est son confident, son protecteur, son idole.

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