Identité Âge : 27 ans Nationalité : Shu Jing Groupe : Sang-bleu Occupation : Dilettante en arts du combat Statut civil : Fiancé

Kizoku est l'enfant rêvé pour un souverain aimant le pouvoir et la force. Plus jeune, Kizuko était intenable : désobligeant, irrespectueux, capricieux, colérique. Ses parents décidèrent de canaliser toute l'énergie de leur enfant hyperactif dans les arts martiaux. Ainsi le garnement trouva une discipline où s'extérioriser pleinement et sans retenue. Mais la maîtrise du feu était une discipline qui l'intéressait bien plus. Depuis tout petit, Kizuko observe les maîtres du feu s'entraîner. Il s'amusait à refaire les mouvements. C'est donc sans surprise qu'à l'âge de l'apprentissage de la maîtrise, Kizuko était en avance sur la majorité des autres aspirants. Mais la discipline n'intéressait pas le prince et rapidement son mentor décida de ne plus lui enseigner la maîtrise du feu. Tant qu'il ne saura pas faire preuve d'écoute et de patience, le jeune homme ne serait plus autorisé à venir apprendre la maîtrise du feu. Indigné, le prince tenta de faire sanctionner le maître. Il est comme ça, Kizuko, à toujours vouloir écraser ceux qui lui barrent la route... obstiné et exécrable, le jeune homme finit toujours par obtenir ce qu'il désire. Mais cette fois-ci, son père n'allait pas céder aux caprices de sa progéniture. Il l'envoya à Republic City pour y courtiser une fille dont il ignorait tout.

La capitale était une vaste blague pour le jeune homme. Il n'aimait pas ce concept de mélange. Le fait que cette ville chapeaute le monde entier le révulsait. Pour Kizuko : chaque pays, chaque nation devrait pouvoir régir son territoire, choisir ce qui est bien ou non pour son peuple. La mine renfrognée du prince du feu éloignait les citoyens à dix mètres. Auprès des jeunes gens, il était hautain. Les enfants qui osaient lui adresser la paroles étaient soit rembarrés, soit nourris d'histoires à faire peur. Kizuko résida de longs mois à la capitale pour y courtiser Suna Beï-Lin, mais à part quelques paroles futiles, il n'était pas désireux de partager quoi que ce soit avec elle. C'était sa seule chance d'avoir un mariage homogène, mais les choses de l'amour et du mariages n'intéressaient pas notre terrible Kizuko qui ne pensait qu'à dénicher le meilleur maître du feu de la capitale pour devenir le plus fort de tous les maîtres ayant existé. Il s'avéra que le père de la jeune Suna était un excellent maître. A cette découverte, Kizuko tenta de se rapprocher de sa fille. Il s'avéra que les deux jeunes gens avaient beaucoup de choses en commun ; comme l'aversion pour la romance et les histoires de la cour. Mais ce n'est pas pour autant qu'ils s'entendaient bien, au contraire... Les fiancés mènent une compétition acharnée pour prouver à l'autre qu'il est le meilleur et se couvrent de sarcasme, d'ironie et de moqueries à la moindre occasion qui se présente.

Prénom Nom Type de lien (ami, famille, ennemi, collègue) Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien. Description du lien.

Suna Beï-Lin Fiancée Il n'a pas d'autre choix que de l'épouser mais rien ne sera fixer tant que la famille Beï-Lin ne décide d'organiser le mariage. Kizuko a conscience que Suna est le meilleur parti dont un homme dans sa position puisse rêver mais il est loin de pouvoir s'imaginer ayant une vie de famille... Il veut diriger, contrôler, brûler ce qu'il veut quand il veut, prouver sa valeur. Ce qu'il fait à chaque fois qu'il en a l'occasion avec Suna... Mais si Kizuko veut devenir le disciple du père de Suna - qui est l'un des meilleurs maîtres - il va un jour devoir se résoudre à obtenir les bonnes faveurs de la demoiselle...